L’auteur

Né dans une famille paysanne helvético-française (père originaire de Fribourg, CH, mère des Contamines-Montjoie, Haute Savoie, née à Paris à l’époque de l’émigration savoyarde).

Enfance à la ferme.

Fait bon coeur contre mauvaise fortune et ne sait pas encore comment lui est venu l’appétit de lire (le goût? Assez rare pour ne pas verser dans le dégoût).

Etudes secondaires médiocres, au moins dans ses résultats, s’entend.

Etudes universitaires de philosophie à Lyon, de littérature française à Genève, licence et doctorat en grec ancien à Genève.

Carrière d’enseignant à Genève.

Recherches diverses sur la civilisation grecque antique.

Publications :

De l’épopée à l’histoire. Fondement de la notion d’historié (publication d’une thèse autour d’Hérodote), Frankfurt, 1992

L’Iliade, poème athénien de l’époque de Solon, Bern, 2000

Les degrés du verbe. Sens et formation du parfait grec ancien, Bern, 2000

Iliade, langue, récit, écriture, Berne, 2007

Sophocle lecteur de Freud, Berne, 2009

Quelques intimes savent que je me suis compromis dans la publication d’un recueil de poésie, d’un récit passablement inintelligible, de traduction d’articles de Stirner…

Dernières publications: le résultat d’une recherche sur l’écriture (au sens de l’acte) du Nouveau Testament aux éditions Publibook.

Jésus de Nazareth contre Jésus-Christ (2 volumes):

I- La condamnation à mort.

II et III –  La Fabrique du Nouveau Testament.

L’enseignement de Jésus de Nazareth restitué. Texte grec

Actes et Paroles authentiques de Jésus de Nazareth

Un retour à Homère par la publication de

Odyssée ou le Retour d’Ulysse. Un traité d’économie politique, Peter Lang, Bruxelles, 2019

Un projet : de la fondation (sacerdotale) du judaïsme (-398) à la fondation (sacerdotale: les mêmes et on recommence) du christianisme (+100).

Adepte de l’analyse linguistique des textes.

A quelques admirations.

S’étonne qu’on le trouve supportable (se trouve pesant!)

Pourquoi ne pas le dire? A une grande dette envers son épouse, dont il admire l’intelligence des êtres humains. Regrette seulement qu’elle ne porte pas à La Plaisanterie de Kundera le même amour qu’il lui porte. Connaît d’autres femmes qui éprouvent les mêmes réticences. Les femmes n’auraient-elles même pas besoin de ce zeste de méchanceté décapante pour tenir à distance la bêtise?

Remercie Stéphane de ce qu’il a accompli d’admirable (le site présent n’en est pas l’illustration la plus précieuse, mais il ne mérite certes pas une moue dédaigneuse).

Au moment où il composait cet épitaphe et faisait de l’ours son emblème, ne savait pas que naîtrait un petit-fils, qui serait appelé Arthur!  Ah! le regard, le sourire puis le rire des « in-fantes »! La justification de l’existence du monde est là, dans ces regards, dans ces sourires et dans ces rires.

Et quand le sourire d’un ourson! est complémenté par celui d’une Iris, c’est pas mal!